Hector Berlioz

Komponist, 1803-1869

"Berlioz gilt als wichtiger Vertreter der Musik der Romantik in Frankreich, obwohl er selbst dem Begriff „Romantik“ nichts abgewinnen konnte: Er verstand sich als klassischer Komponist. Er gilt als Begründer der sinfonischen Programmmusik und der modernen Orchesterinstrumentation. Seine für die damalige Zeit revolutionären Kompositionen wurden kaum verstanden und trugen ihm mehr Kritik als Lob ein. Deshalb musste er seinen Lebensunterhalt zusätzlich als Musikkritiker bestreiten. Obwohl seine Werke bis auf ""Béatrice et Bénédict"" (1862 in Baden-Baden) ausnahmslos in Paris uraufgeführt wurden, erfuhr er in Frankreich erst lange nach seinem Tod Anerkennung."

Quelle: Wikipedia

Berlioz, Hector

Komponist (1803–1869). Eigenh. Brief m. U. („H. Berlioz“). O. O. u. D.(„Dimanche“). 1 S. Doppelblatt. 8vo. Mit eigenh. Adresse.
4.500 € (24990)

An seinen Freund, den Klavierhersteller Edouard Alexandre (1824–1888), der ein Piano transportieren sollte: „En vous écrivant ce matin j’ai oublié de vous prier de m’envoyer vos porteurs pour enlever mon piano – Nous déménageons. S’ils ne peuvent pas venir demain lundi, envoyez les après demain. Vous obligerez encore votre tout dévoué [...]“.

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift „Hector Berlioz“. Paris. 8vo. 2 pp. Fleckig. Leichte Randläsuren.
3.700 € (81679)

Nach einer Kontroverse in einer englischen Zeitung über einen Artikel über Le Désert von Félicien David. „[…] Un de nos confrères de la presse parisienne étant venu réclamer de moi, comme un bon offi ce, la déclaration que vous avez lue dans le Morning Post, et m’ayant assuré sur son honneur que mon article des Débats sur le Désert n’avait point été traduit, qu’il n’y avait pas un mot qui y ressemblât dans la critique de l’ouvrage de David publiée par le Morning Post, je n’ai pas hésité à le croire.

Sans doute la personne qui était venue me demander cette lettre avait lu seulement la seconde critique du Morning Post qui ne ressemble en rien à la mienne. Quant à l’autre il est évident qu’elle est en grande partie traduite de mon article des Débats et je regrette de voir qu’un malentendu ait donné lieu dans la presse musicale anglaise à de si pénibles récriminations […]“..

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. musikalisches Albumblatt mit Unterschrift der Komponisten Hector Berlioz, Gaspare Spontini, Ignaz Moscheles und Adolphe Adam. Folio. 2 pp. Notenpapier. 12-zeilig.
14.500 € (81680)

Faszinierende Ansammlung von Notenzitaten vier bedeutender Komponisten. Hector Berlioz verewigte sich mit „Refrain de son Hymne à la France“ [H 97, Op.20 n°2], Chor nach einem Gedicht von Auguste Barbier, komponiert im Jahre 1844, dessen erste Aufführung am 1. August 1844 in Paris für das Festival de l’industrie stattfand. Der Refrain mit 4 Stimmen mit 5 Takten und den Worten „Dieu protège la France Dieu protège la France“. Auf derselben Seite schrieb Gaspare Spontini unter der Musik von Berlioz 5 Takte für stimme und Klavier mit folgenden Worten: „Je te salue ami qui signes Berlioz je te salue ami!“.

Unter seiner Unterschrift fügte er hinzu „Qui, je l’en prie avec toi: que Dieu protège la France et l’Italie!! Puis, tout ce qu’il Lui plaira! Paris, ce 30 9bre 1845“. Auf der Rückseite zwei für Klavier gegebene Notenzitate von Adolphe Adam, 7 Takte in A bis 2/4, „Paris 30 8bre 1845“ und von Ignaz Moscheles, Andante melanconico mit 5 Takten, h-Moll am 2/4, "Paris cd 1Novembre 1845". Sehr attraktiv und selten in dieser Form..

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift „H. Berlioz“. ohne Ort. 8vo. 1 p. Doppelblatt. Mit Adresse. Leicht eigerissenes Respektblatt.
2.500 € (81681)

An den engl. Musikkritiker Charles Gruneisen (1806-1879) im Hotel Meurice adressiert. Berlioz wurde von einer qualvollen Migräne heimgesucht „migraine atroce“ und bedauert Gruneisen vor seiner Abreise nicht gesehen zu haben. „quelques lignes bien lancées peuvent, vous le savez, être très utiles un jour ou un autre, mais elles sont ici pour moi en outre une preuve de votre bienveillante amitié, et c’est ce qui leur donne à mes yeux tant de prix“. Correspondance, t. [IX], n° 243 quater.

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift „H. Berlioz“. London. 8vo. 4 pp. Doppelblatt.
6.500 € (81682)

Schöner Brief an seinen Freund, den Cellisten Émile Desmarest. Berlioz berichtet über seinen Erfolg in London, während die Revolution in Paris wütete. Berlioz wirft seinem Freund Schweigen vor. Sein Leben in London sei rau und „continuellement active“ gewesen. Er fragt sich was aus „de cet immense bouleversement“ werden wird. Nachdem was er in den Zeitungen lese, unterscheide sich die neue Republik sehr von der alten und die Veränderungen scheinen zum Vorteil zu sein. „[…] Il reproche à son ami son silence.

Sa vie à Londres a été jusqu’à présent rude et « continuellement active ». Drury-Lane est maintenant fermé. Il se demande ce qui sortira « de cet immense bouleversement [...] D’après ce que je vois dans nos journaux la république nouvelle se présente fort diff érente de l’ancienne, et les diff érences me paraissent être toutes à son avantage. Espérons que les arts n’auront pas à s’en plaindre. Que devient notre imbécille d’opéra ? que font nos farceurs de directeurs ? qu’y-a-t-il de changé dans la direction des beaux-arts ? [...] Je crains dans la bagarre de perdre ma petite place du Conservatoire. Il ne me manquerait que cela pour me faire adorer notre belle France. [...] Vous savez que mon concert de Drury-Lane a eu un succès de tous les diables. Je n’ai jamais trouvé une unanimité dans la presse comme dans cette circonstance ». Il évoque la faillite de son impresario Jullien. « Je vais maintenant faire mes aff aires, si non tout seul, au moins avec des gens plus sûrs et plus solides que lui. Je monte un second concert dans la salle d’Exeter-Hall sans courir de risquer de pertes, mais il faut de longs préparatifs. On me fête chaudement partout ; j’ai des speeches à faire à tout propos, pour répondre aux toasts dans les meeting et diners d’artistes et d’hommes de lettres [...] Vraiment nous avons sur le continent des idées bien fausses de la politesse anglaise. Et puis c’est un peuple sérieux, et je suis cruellement las de l’éternelle blague Parisienne. [...] je crois que les feux de l’enfer et du ciel se réuniraient pour fondre Paris que les pianistes trouveraient encore un prétexte pour essayer de refroidir ces pauvres Parisiens. Je m’ennuyais horriblement ici dans les premiers temps, me voilà acclimaté, j’ai de nombreuses et agréables relations, il ne me manque que des nouvelles de mes vrais amis de Paris […]“ Correspondance, t. VIII, n. 1181..

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). 2 eigenh. Briefe mit Unterschrift „H. Berlioz“. o. O. 8vo. 2 pp. 1 Brief auf gedr. Briefkopf „Conservatoire Imperial de Musique“.
3.800 € (81683)

Beide Brief an Augustin Varcollier, „secrétaire de S.A.I. le Prince Napoléon“. Mercredi matin [6. Dezember [?] 1854]. „Si vous étiez libre Vendredi prochain à 2 heures, je serais bien heureux qu’il vous convînt de venir entendre mon petit oratoire (L’Enfance du Christ) […]“ [17. Dezember 1855]. Berlioz übersendet „la copie de l’article 8 du règlement du Conservatoire: Le traitement du bibliothécaire en chef est de deux mille cinq cents francs. Il pourra être porté à trois mille francs après cinq années d’exercice. Je ne touche que 1500f moins la retenue […]“ Correspondance, t. VIII, n° 2068ff.

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift „H. Berlioz“. [Paris] „19 rue de Boursault“. 8vo. 4 pp.
4.500 € (81684)

An den Violinsten Prosper Sainton: „[…] À la fi n de ce mois je pars pour l’Allemagne où je ne sais pas bien précisément combien de temps je resterai. En outre on me fait diverses propositions pour la Belgique, pour le mois de mars, et, si ce que je demande, pour ces concerts Belges peut se réaliser, j’accepterai les off res qui me sont faites ». Il ne sera donc pas à Paris en mars. « Sans cela vous ne devez pas douter du plaisir que j’aurais eu à me mettre entièrement à la disposition de Miss Dolby et d’organiser et de diriger son concert.

J’ai reçu bien des politesses et des marques de bonne confraternité des artistes anglais ; j’eusse donc été trop heureux de pouvoir être agréable (mais sans termes quelconques) à une personne aussi distinguée sous tous les rapports que Miss Dolby […]“ Correspondce, t. V, Nr. 2081..

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift „H. Berlioz“. ohne Ort. 8vo. 1 p. Doppelblatt.
7.500 € (81685)

An Richard Wagner, der drei Konzerte in Paris im Théâtre-Italien gab. „Mon cher Wagner, Je suis en eff et toujours malade, mais ce n’est pas la raison qui m’a empêché d’assister à votre second concert; c’est encore moins un défaut d’intérêt pour vos compositions, croyez-le bien. Mais ma soirée était impérieusement prise et j’ai dû donner vos billets à deux dames excellentes musiciennes qui désiraient vivement vous entendre. Je n’ai pas encore pu écrire mon feuilleton, mais je m’y mettrai prochainement et je vous dirai sincèrement toutes mes pensées et mes impressions […]“ Correspondance, t. VI, Nummer 2476

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit Unterschrift. O. O. u. D. 1 p. 8vo. Mit Adresse. Bräunliches Konzeptpapier.
1.050 € (83181)

„Monsieur des Lostanges / Serait il assez bon pour annoncer le concert dont je lui laisse le programme! […]“

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenhändige Visitenkarte mit Unterschrift. „Hôtel du Cygne“. 32mo. 1 p. Fleckig. Rückseitig Montagereste.
450 € (83182)

Als Visitenkarte, mit Namenszug versehenes Billet.

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Berlioz, Hector

franz. Komponist (1803-1869). Eigenhändige Visitenkarte mit Unterschrift. „Hôtel du Cygne“. 32mo. 1 p. Mit blindgeprägter Bordüre.
650 € (83183)

Als Visitenkarte, mit Namenszug versehenes Billet.

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Berlioz, Hector

French composer (1803-1869). Autograph letter signed. no place. 8vo. 2 1/2 pp. with address. Double sheet. Minor loss by opening the letter. This paper. Repairs to vertical fold.
6.000 € (91902)

Content-rich letter to the writer and critic Jules Janin, concerning Berlioz's highly successful stay in Vienna. Berlioz informs Janin that he couldn't profit from a letter of introduction to the Prince of Schwarzenberg so far as the Prince had yet to return to Vienna. Nevertheless, everything was "going smoothly" and he "had never dreamed of such a success" for his music. The only difficulty was to fulfill the many requests for conducting his own works in view of his "numerous rehearsals". This enthusiasm leads Berlioz to the remark: "The Viennese audience [peuple musicale de Vienne] is admirably passionate about what it likes and bows down before what moves it." He asks Janin to write an article on a reception that was held in his honor based on details published in Maurice Schlesinger's Gazette musicale, and to mention the names of the Viennese artists and amateurs who had presented him with a silver-gilt baton, as they were "the most important and most considered in the city".

In closing, Berlioz announces that he will show his Roméo et Juliette with the bass Josef Staudigl, whom he praises as a singer and an excellent person "who doesn't play god" and praises Vienna as "the real musical capital of the world" with excellent orchestras and choirs. Only the tenors "like everywhere else" are "wounded and deadly wounded", particularly mentioning Joseph Erl who "has a very beautiful voice and doesn't know what to do with it", while the others "have neither voice nor method" and there is "none but Roger right now", referring to Gustave-Hippolyte Roger. Je n'ai pu encore profiter de votre excellente lettre pour le Prince Schwartzenberg ; il n'est pas de retour à Vienne. Heureusement tout va sans encombre, je n'ai jamais rêvé pour ma musique un pareil succès. Tout le monde en conséquence m'aide et m'offre ses services ; le difficile c'est de me trouver partout où l'on me demande, dans la plupart des concerts qui se donnent ici on joue de ma musique et l'on me prie de venir la conduire quand j'en ai le temps, ce qui n'arrive pas tous les jours à cause des répétitions nombreuses que j'ai à faire pour mon propre compte. Le peuple musical de Vienne se passionne d'une manière admirable pour ce qui lui plaît et se prosterne devant ce qui l'émeut. - Vous trouverez je pense dans la Gazette musicale de dimanche prochain les détails que j'ai envoyés à Schlesinger sur la fête qu'on vient de me donner. Soyez assez bon pour les lire et en extraire quelque chose pour votre feuilleton de lundi. - L'histoire du Bâton de Vermeil fera surtout grand effet si vous pouvez mettre les noms des artistes et amateurs qui me l'ont offert, car ce sont les plus considérables et les plus considérés de la ville. - Je vais montrer Roméo et Juliette avec cet admirable Staudigl qui est de plus un excellent homme simple et [qui] ne fait point le Dieu. C'est vraiment ici la capitale musicale du monde, les orchestres y sont excellents les chœurs de même. Seulement il n'y a, comme partout, que des ténors blessés et blessés à mort. Erl a une forte belle voix dont il ne sait que faire, et il est le seul dont on puisse ainsi parler, les autres n'ont ni voix ne méthode. Décidemment il n'y a que Roger en ce moment..

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Berlioz, Héctor

Komponist (1830–1869). Eigenh. Notiz mit Unterschrift. ohne Ort und Datum. Quer-8vo. 1 p. Karton.
2.000 € (96340)

„Les théâtres, en général, sont les mauvais biens de la musique, et la chasta muse qu’on y traîne ne peut y entrer qu’en frémissant. [...]“ - Aus der Sammlung des spanischen Pianisten Antonio Baciero (geb. 1936). Beigelegt:3 Portraitpostkarten von Berlioz.

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Berlioz, Hector

Komponist (1803–1869). E. Brief mit U. („H. Berlioz“). Paris. 8vo. 1 p.
2.000 € (96357)

An einen Camille (wohl sein Schwager Camille Pal), dem er für das schnelle Zusenden einer Anweisung von 500 Francs aus einer ihm zustehenden Erbschaft dankt: „Je viens de recevoir le mandat de cinq cent francs à valoir sur ce qui me reviendra dans l’hoirie; je vous remercie de me l’avoir envoyé si promptement [...]“. – Leicht angestaubt und gering fleckig; mit zwei Stecknadeldurchstichen am oberen Blattrand. - Aus der Sammlung des spanischen Pianisten Antonio Baciero (geb. 1936).

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Berlioz, Hector

Komponist (1803-1869). Eigenh. Brief mit U. O. O. u. D. 1 S. auf gefalt. Doppelblatt mit Adresse am Gegenblatt verso (Faltbrief). Kl.-8vo.
2.000 € (935198/BN935198)

An seinen Freund, den aus Pest gebürtigen Pianisten Stephen Heller (1814-88), wohnhaft 62, rue Neuve-des-Mathurins, Paris: "Mon cher Heller / J'ai cherché dans toute la rue de Laval sans pouvoir trouver M. de Vesma [?] qui a eu la bonté de m'écrire ce matin et que je voudrais bien voir avant son déport pour la campagne. Savez vous son adresse numérotée?" - Die Unterschrift aus Platzmangel am Briefkopf untergebracht.

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Berlioz, Hector

Komponist (1803-1869). Eigenh. musikalisches Albumblatt mit U. ("H. Berlioz"). O. O. 190:427 mm. In roter Leinenkassette (320:455 mm) mit Deckelschildchen.
15.000 € (82531/BN53702)

Sehr ansprechendes, großformatiges Albumblatt: Sieben 6/8-Takte Adagio in dreizeiligem System für "Flutes et Clarinettes", "Violons" und "V[iolonc]elli C[ontre]Basses" aus der Liebesszene von "Romeo und Julia": "Phrase de la scène d’amour de Roméo et Juliette Symphonie avec chœurs". - Die Ränder etwas gebräunt und fleckig, sonst tadellos erhalten.

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Berlioz, Hector

French composer (1803-1869). Autograph musical quotation signed ("H. Berlioz"). No place. Oblong folio (340 x 246 mm). 3 staves and autograph title in brown ink on thick paper mounted on cardboard.
9.500 € (82610/BN53792)

Beautiful musical quotation that points to an early stage of the composition of "La Damnation de Faust", given that Berlioz renamed the "Introduction Pastorale" as "Le vieil hiver fait place au printemps" ahead of the premiere in 1846. The quotation of the andante in D major comprises 8 bars of the viola score, 7 bars of the clarinet and flute score, and 4 bars of the second violin score. - According to his "Mémoires", Berlioz composed the introduction on his way to Vienna "at an inn in Passau on the Bavarian border" (chapter 54), a journey that can be dated to late 1845.

Deeply disappointed by the poor reception of his 'Faust' upon its premiere at the Opéra-Comique on 6 Dec. 1846, Berlioz writes in the same chapter: "Nothing in my artistic career has hurt me more deeply than this unexpected indifference". Berlioz did not live to see the enduring success of his innovative work after its rediscovery and popularization by the conductor Édouard Colonne in the last quarter of the century. - With collector's note in ink. Some foxing and browning; a few tears have been restored by mounting the paper on cardboard..

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Berlioz, Hector

French composer (1803-1869). Autograph letter signed. No place. 8vo. 1 p. on bifolium. With autograph address verso.
1.000 € (86079/BN56806)

To the French composer Auguste François Morel (1809-81) with an invitation to dine at his place the following evening along with his sister, uncle, and brother-in-law, planning to sing some "bêtises" later that night, and hoping that the singer Adolphe Joseph Louis Alizard (1814-50), the cellist Émile Desmarest, and the composer Stephen Heller (1813-88) will join them later, when he intends to make an important musical announcement: "Venez diner avec moi demain à 5 h. ½ il y aura seulement ma soeur, mon oncle et mon beau frère et le soir nous chanterons quelque bêtises.

J'espère qu'alizard [!] et Desmarest et Heller viendront à 8 heures. J'ai une grande chose à vous dire (musicale) […]" ("Mercredi soir"). - With traces of former mounting on reverse. Former collector's number "95" in pencil..

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Berlioz, Hector

French composer (1803-1869). Autograph letter signed. No place. 8vo. 1 p. on bifolium. With autograph address verso.
3.500 € (86115/BN57026)

To Victor Hugo at the Théâtre de la Porte Saint Martin, asking for tickets for his play "Marie Tudor" (1833) for his wife and himself: "Mr. et Mme. Berlioz ont l'honneur de saluer Mr. V. Hugo et de lui rappeller qu'ils ont besoin de voir Marie Tudor; l'art etant chez eux une religion dont M. Hugo est le grand prêtre. Peut-être sera-t-il po[ssible] à M. Hugo de disposer de deux plac[es] pour Samedi prochain […]". - With traces of former mounting on reverse and former collector's number "97" in pencil. Noticeable damage to the right margin, affecting several letters.

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Berlioz, Hector

E. Brief mit U.
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Hector Berlioz (1830–1869), Komponist. E. Brief mit U. („H. Berlioz“). Wohl Paris, o. D. 1 S. auf Doppelblatt. 18°. Mit e. Adresse (Faltbrief). – An Carolyne von Sayn-Wittgenstein mit der Klage über ein Mißverständnis und mit der Bitte, doch auf den Besuch von Meyerbeer’s „Der Prophet“ zu verzichten und statt dessen mit Kreutzer, Ella und ihm zu dinieren. – Etwas unfrisch; die Verso-Seite von Bl. 2 mit Spuren eines grünen Siegels.


Berlioz, Hector

E. Brief mit U.
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Hector Berlioz (1803–1869), Komponist. E. Brief mit U. („H. Berlioz“). Paris, 3. September 1854 [?]. ¾ S. Gr.-8°. – An einen Camille (wohl sein Schwager Camille Pal), dem er für das schnelle Zusenden einer Anweisung von 500 Francs aus einer ihm zustehenden Erbschaft dankt: „Je viens de recevoir le mandat de cinq cent francs à valoir sur ce qui me reviendra dans l’hoirie; je vous remercie de me l’avoir envoyé si promptement [...]“. – Leicht angestaubt und gering fleckig; mit zwei Stecknadeldurchstichen am oberen Blattrand.


Berlioz, Hector

E. Brief mit U. und einer kleinen e. Notiz mit U. von A. v. Humboldt
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Hector Berlioz (1803–1869), Komponist. E. Brief mit U. [Paris], 22. Februar 1845. ¾ S. 8°. Mit einer kleinen e. Notiz und U. von Alexander von Humboldt und einem von diesem e. adr. Kuvert. – An Alexander von Humboldt: „Je regrette vivement de ne pas m’être trouvé à la maison quand M. D’A[l]vensleben a pris la peine d’y venir. Je serai enchanté de faire sa connoissance; il me trouvera presque tous les jours à midi Rue de Provence N° 41 où il peut me demander. Si je savais les heures où l’on vous dérange le moins en sollicitant l’honneur de vous voire, je serais heureux d’aller vous témoigner combien je suis sensible à votre bon souvenir et aux marques si flatteuses de bienveillance que vous m’avez accordés. On est fier de devoir beaucoup aux hommes que beaucoup on admire [...]“. – Mit folgender Notiz leitet Humboldt den Brief an den zur Zeit in Paris weilenden Musiker Johann Ludwig Gebhard von Alvensleben (1816–1895) weiter: „Ich schicke Ihnen diesen Brief, den ich aufzuheben oder zu vernichten bitte damit Sie sehen wann der streitbare Hector zu finden sei | AVHumboldt“. – Etwas knittrig und mit einem kleinen Randausriß (keine Textberührung).


Berlioz, Hector

Eigenh. Brief mit Unterschrift „H. Berlioz“.
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Unveröffentlichter Brief an Giacomo Meyerbeer: „Très cher et admiré maître J’ai le regret de ne pouvoir être des vôtres, je pars mercredi à 8 h. du soir pour Brunswick. Impossible à moins de manquer à mes engagemens de retarder ce départ de vingt quatre heures. Les jours de répétitions et de concert sont fixés […]“ [Berlioz écrivait de Dresde le 18 février 1843 à Auguste Morel : « Je reçois à l’instant une lettre de Meyerbeer m’annonçant qu’une fête ordonnée par le roi retarde de quelques jours mes répétitions ; il m’engage à aller en conséquence à Brunswick où je suis attendu, et où le Roi Lear m’a déjà conquis de chauds partisans ». Entretemps, il sera allé à Leipzig, où il rencontre Schumann. Le concert de Brunswick eut lieu le 9 mars.]


Berlioz, Hector

Eigenh. Musikzitat mit U. (Bleistift).
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Die ersten 6 Takte der "Symphonie fantastique".