Honoré de Balzac

Schriftsteller, 1799-1850

Balzac wird neben dem 17 Jahre älteren Stendhal und dem 22 Jahre jüngeren Flaubert als Dreigestirn der großen Realisten gesehen. Sein Hauptwerk ist der rund 88 Titel umfassende, aber unvollendete Romanzyklus „La Comédie humaine“, dessen Romane und Erzählungen ein Gesamtbild der Gesellschaft im Frankreich seiner Zeit zu zeichnen versuchen. Mit seiner relativ ungeschminkten Darstellung der gesellschaftlichen Realität prägte Balzac Generationen nicht nur französischer Autoren und bereitete den Naturalismus vor. Sein Prinzip der Verbindung einer ganzen Serie von Romanen durch ein System wiederkehrender Figuren wurde von Émile Zola in dessen Zyklus der Rougon-Macquart aufgegriffen.

Quelle: Wikipedia

Balzac, Honoré de

Schriftsteller (1799–1850). Eigenhändiger Brief mit Unterschrift „d Balzac“. ohne Ort. 8vo. 1 1/2 pp.
7.500 € (83919)

An Delphine de Girardin: „Madame, puisque je me suis avant-hier si bien acquitté de la présentation de la princesse G. [Galitzin?] permettez-moi de croire que je ne serai pas plus malheureux en remplissant une autre mission. Vous avez désiré, je crois, voir Madame de Castries, elle me charge de vous dire qu’elle sera charmée de vous recevoir. J’ai acquis la précieuse nouvelle que ma bêtise, à l’endroit d’un faux Rességuier, est devenue tout ce que l’esprit pouvait faire de plus ingénieux – le jeune homme rêve de vous, avec l’imagination d’un homme de seize (dirait Lautour[-Mézeray]) et j’ai comblé ses désirs en ne croyant faire qu’une mauvaise plaisanterie – j’ai donc eu du bonheur dans ma bêtise; mais maintenant je ne me risquerai avec nulle autre que vous, car vous seule pouvez offrir de semblables chances […]“ - Correspondance (Pléiade) I, 35-186..

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Balzac, Honoré de

Schriftsteller (1799–1850). Eigenhändiger Brief mit Unterschrift „Gourdon 3“. [Passy, 19. Dezember 1844]. 8vo. 1 1/4 pp.
7.500 € (83920)

Amüsanter Brief an Delphine de Girardin, der an die Charaktere seines Romans Les Paysans erinnert, mit einem Titelprojekt auf der 3. Seite. [Les Paysans erschien am 3. Dezember in La Presse [Zeitung von Émile de Girardin]. Delphine de Giradin muss die Korrektur gelesen haben, in der Balzac das Gedicht von La Bilboquéide zitiert, das vom Standesbeamten Gourdon verfasst wurde. Balzac beabsichtigt, Hetzel für das Projekt „Zwölf Städte“ zu gewinnen. Signiert ist der Brief mit „Gourdon 3“.

Er fügt hinzu, dass er es bedauert, der Einladung zum Genuss von Lautour-Mézeray nicht folgen zu können: „Il ajoute qu’il regrette de ne pouvoir se rendre à l’invitation pour jouir de Lautour-Mézeray : « jugez de mon chagrin ! Mais hier je dînais pour affaire, mardi Dujarier me retint et j’appris le séjour de Lautour, j’irai causer de mes malheurs ce matin à 3 heures avec vous […]“ Auf der dritten Seite hatte Balzac den Titel geschrieben: „Les Malices d'une femme virteuse". / Ch. 1. Journal d’une lune de miel“ [für Teil 3 von Beatrix]. - Correspondance (Pléiade) III, 44-101..

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Balzac, Honoré de

Schriftsteller (1799–1850). Eigenhändiger Brief mit Unterschrift „de Bc.“. [Passy, 2. August 1846]. 8vo. 1 p. Mit Adresse.
7.500 € (83921)

An Delphine de Girardin: „[…] Hélas, j’ai trois affaires qui me forcent à rester chez moi. D’abord l’état très inquiétant d’une personne qui s’est blessée et pour laquelle il y a consultation de docteurs où j’ai bien peur que chacun prêche pour son sein ! […] Puis, un cas grave survenu dans la vie d’une autre personne à qui je m’intéresse et qui prend rendez-vous chez moi pour traiter cette affaire. Enfin Les Paysans exigent que je travaille toute cette nuit. Ce qui me console, c’est de vous savoir entourée des tigres et des lions de la littérature, de poësie et d’esprit et l’absence d’un humble prosateur remarquable seulement par sa mine joviale ne se fera pas sentir.

Vous serez au milieu d’une pléiade, que feriez-vous, ma dame, d’un vendeur de pommes […]“ - Correspondance (Pléiade) III, 46-57..

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Balzac, Honoré de

Schriftsteller (1799–1850). Eigenhändiger Brief mit Unterschrift „de Bc.“. [Passy, April 1847]. 8vo. 1 1/2 pp.
9.500 € (83922)

Zu einem Artikel von Théophile Gautier vor der Veröffentlichung des letzten Teils von „Splendeurs et misères des courtesanes“. „Je ne vous savais pas en mal de feuilleton, je venais vous dire que je suis dans le même cas pour 1° la Presse, 2° l’Union, 3° le Constitutionnel, et que je ne puis pas disposer d’un instant, car outre l’emménagement de mes romans, j’ai le déménagement de tout mon mobilier. Enfin, j’ai vu Émile à qui cet article sur les 3 ouvrages précédents est tellement indifférent, qu’il en veut très peu.

Quant à moi, je n’en ai parlé qu’au point de vue des abonnés de la Presse, qui ne connaissent pas tous la tête dont cette petite nouvelle est la queue. Vous savez que pour ce qui me concerne, je n’ai jamais rien voulu. Ici l’impossibilité me prend à la gorge, je suffis à peine à mes travaux, et je transporte ma bibliothèque lundi Gautier, ayant déploré l’article que vous savez, et sachant Goriot, Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes, avait matière à un grand feuilleton critique, narratif, etc. Mais remarquez que c’est à son point de vue et non au mien qu’il doit le faire. Mes idées sur moi sont très mesquines […]“ - Correspondance (Pléiade) III, 47-29..

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Balzac, Honoré de

frz. Schriftsteller (1799-1850). Eigenh. Brief mit U. ("de Balzac"). [Paris. ½ S. 8vo.
4.800 € (80882/BN52761)

Unveröffentlichter Brief an seinen neuen Verleger Edmond Werdet, dem er die Bestätigung vorweisen wolle, daß unverkauft gebliebene Exemplare ihm, Balzac, von seinem vorigen Verleger Charles Gosselin übergeben werden: "Je reconnais avoir à M. Werdet la facture par laquelle M. Gosselin déclare ne conserver aucun exemplaire des ouvrages qu'il avait eu à vendre et la joindre aux pièces qui me libèrent, et je la lui communiquerai toutes les fois qu'il en aura besoin".

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Balzac, Honoré de

Lettre autographe signée à Charles de Montalembert.
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Exceptionnelle et inédite lettre de Balzac, tandis qu’il vient de faire paraître la plaquette L'Enquête sur la politique de deux ministères, et qu’il finalise la rédaction de l’un de ses premiers chefs d’œuvre : La Peau de chagrin. « Permettez moi de vous remercier affectueusement de l’aimable lettre que vous m’avez écrite au sujet de l’envoi de mon enquête. Elle vous était due comme collaborateur de l’Avenir, mais sans cela je me serais fait même un plaisir de l’offrir à un écrivain politique aussi distingué que vous. Je n’ai pas eu le loisir de vous dire tout cela de vive voix chez Madame Gay le jour de la lecture de Barnave ; mais je me proposais d’aller vous prier de parler de ma brochure dans votre journal. L’enquête est trop vieille aujourd’hui, car les évènements marchent vite en notre siècle… Dans quelques jours Monsieur, lorsque j’aurai terminé un ouvrage fort difficile La Peau de Chagrin, j’oserai mettre à contribution votre bonne volonté, si toutefois la santé de monsieur votre frère se rétablit, car tous les amis de la franchise doivent désirer qu’il ne souffre pas. Je ne sais si cette lettre vous trouvera à Paris, et si j’aurai le plaisir de vous voir en vous offrant un exemplaire de mon livre, au cas contraire, acceptez ici Monsieur, mes remerciements et l’assurance de ma haute considération. Nous connaissons la réponse de Montalembert (du 6 juin) à cette lettre inédite de Balzac (Pléiade, Correspondance, Tome I. page 365) : « J’attendrai avec la plus vive impatience, monsieur, le livre que vous avez l’extrême bonté de me promettre. J’espère que la santé de mon frère qui m’inquiète toujours beaucoup sera alors un peu remise. Je fais surtout des vœux non pas pour que votre livre soit beau et qu’il ait du succès car votre passé m’en répond, mais pour qu’il me soit permis à moi strict moraliste de l’Avenir d’en dire tout le bien que je vous souhaite. » Dès janvier 1831, avant même d’avoir achevé son roman, Balzac vendit les droits de La Peau de Chagrin, aux éditeurs Charles Gosselin et Urbain Canel. A sa publication, l’ouvrage rencontra un véritable succès. Montalembert (1810.1870), homme politique et journaliste, défenseur des romantiques, fut parmi les premiers à saluer La Peau de chagrin, «comme le roman qui a révélé l'énorme besoin de spiritualité de notre époque » et comme « le tableau le plus vrai de la société actuelle, qui ait été encore tracé » Balzac évoque également le Salon littéraire de Sophie Gay qui se tenait au 11 rue de Choiseul.


Balzac, Honoré de

Eigenh. Brief m. U.
Autograph ist nicht mehr verfügbar

Der Maler und Bildhauer Antoine Étex (1808–1888) hatte gegenüber Balzac seine Bewunderung für „Un Ménage de garçon en province (La Rabouilleuse)“ [deutscher Titel: „Die Fischerin im Trüben“] zum Ausdruck gebracht und ihn eingeladen, ihn in seinem Atelier zu besuchen, um eine Büste von ihm anzufertigen: „Vous ne pouvez pas douter du plaisir que j'aurai à voir un des premiers l'œuvre dont vous me parlez et mon empressement vous le prouvera. Plus que personne, j'aime la statuaire, car je comprends le monde d'idées qui s'enfouit dans les travaux cachés qu'elle exige. Quant au buste dont il est question, votre offre, Monsieur, est une de ces choses qui, dans une vie comme la mienne, compensent tous les chagrins que nous éprouvons et qui console bien de ces misères, surtout en considérant de qui cela vient et avec quel cœur elle est faite. Mais vous jugerez vous-même de cette difficulté: précisément, l'avantveille de votre lettre, M. DAVID [D'ANGERS] avait eu l'idée flatteuse pour moi, de prier M. Victor HUGO, de nous réunir chez lui; et, comme depuis longtemps il avait l'intention de faire mon buste, car nous sommes quasi compatriotes, il s'est emparé, séance tenante, de ma tête pour sa collection de médaillons et va faire après un marbre, je me considère un peu comme lui appartenant“.


Balzac, Honoré de

Autograph letter signed ("de Balzac").
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Letter of recommendation to Baron Gérard for the Swiss painter Louis-Aimé Grosclaude: "J'ai vu hier un artiste dont le nom n'est pas encore célèbre en France quoiqu' il ait beaucoup de talent, c'est M. Gros-Claude de Genève. Il désire, avec cette ferveur qu' inspire votre talent, vous faire voir ses tableaux qu' il expose au musée. J'ai osé faire les honneurs de votre bienveillance, et il doit venir vous les apporter entre midi et une heure aujourd' hui, car le terme de rigueur expire demain pour l'admission; il n'a rien autre chose à vous demander que votre avis, et celui de mademoiselle Godefroid. Il est grand ami de Schnetz et professe pour vous cette admiration que nous avons tous [...]" ("Yesterday I saw an artist whose name is not famous in France yet, although he has great talent, it is M. Gros-Claude of Geneva. He desires [...] to show you his paintings, which he exhibits at the museum [...] he has nothing else to ask of you but your opinion, and that of Mademoiselle Godefroid. He is a great friend of Schnetz [...]"). - Louis-Aimé Grosclaude (1784-1882) was a student of Jean-Baptiste Regnault, and exhibited at the Salon de Paris since 1833. Balzac had made his acquaintance in Geneva the previous year. Gerard was to write to Balzac that Grosclaude was "quite simply a man of talent". - Contemporary numbering in upper left corner. In excellent condition.