Blondin, médecin à Avignon, avec lequel j'ai eu l'honneur de vous mettre en relations, et qui prépare, vomme vous le savez, une traduction des oeuvres médicale de l'illustre Stahl, - Mr. Blondin, dis-je, en fort inquiet de ne pas avoir reçu de réponses aux dernières lettres qu'il vous a écrites. il craint de vous avoir blessé sans savoir de quelle manière; il ne sait en un mot comment expliquer ce silence de votre part, après les témoignages si empressés et si flatteurs dont vous l'aviez comblé d'abord. C'est en son nom que je vous écris; il me prie de vous le recommander de nouveau, et je n'hésite pas à lui rendre ce service [...] Vous avez du recevoir, il y a déja plusieurs mois, la copie des trois premiers chants de l'Enfer de Dante d'après le manuscrit de Montpellier, que j'ai eu l'honneur de vous envoyer à halle. C'était, je crois, au mois de Juin 1892 [...]"..