Je me hate de vous en informer, comme vous m'y avez autorisé afin que vous pourriez de suite faire le necessaire pour le faire placer à Vernon, ce qui sera le comble de nos vœux, aussi je en ai pas besoin de vous dire combien nous vous en serons reconnaissante [...]" (Jan. 1901, recipient's note). - In the second letter from 26 February 1901, Claude Monet explains that Michel has received information that he will be retransferred to Rouen. Monet asks the recipient to make Michel's posting in Vernon permanent before the transfer to Rouen becomes official: "Je viens encore faire appel à votre aimable obligeance. Mon fils Michel qui grâce à vous a été envoyé à Vernon, et ou il se trouve très bien, a appris officieusement par un camarade qui est employé à la direction de Rouen, qu'il était question de le faire revenir à Rouen, parce que l'on vient d'envoyer un autre soldat à Vernon et par ce fait il y a un homme de plus à l'effectif de cette ville. Cela n'est pas officiel mais pourrait le devenir, mon fils en a la crainte et me demande à vous écrire afin d'user de votre influence pour le faire classer définitivement à Vernon. Si ce n'est abuser de votre obligeance je vous serais bien vivement reconnaissant d'intervenir auprès de votre collègue de Rouen. Vous demandant de bien vouloir le faire le plustot [!] possible avant que la chose ne devienne officiel [!]. Tous mes remerciments [...]". Both letters were sent from London, where Claude Monet stayed in 1901. - Regarding his stepson Jean-Pierre Hoschedé, Monet informs Durolles that the former minister Léon Bourgeois had successfully intervened on Jean-Pierre's behalf so that he would be allowed to continue his studies in Paris before being drafted: "J'apprends à l'instant par Monsieur Léon Bourgeois l'ancien Ministre qui porte beaucoup d'intérêt à mon beaufils que sur sa demande et dans le but de lui procurer plus de temps à ses études, il vient d'obtenir qu'il soit détaché au Ministère de la guerre. Je m'empresse de vous en informer au cas ou vous ne le sauriez deja et je tiens à vous remercier encore de votre obligeante sollicitude à son egard [...]" (13 April 1899). - Michel Monet and Jean-Pierre Hoschedé grew up like siblings since the Hoschedé family had moved to live with the Monets in Vétheuil in 1878. Alice Hoschedé took care of Monet's first wife Camille, who suffered from terminal cancer, and the eight children. Camille died in 1879, and Ernest Hoschedé soon left the household, only visiting sporadically and later unsuccessfully asking his wife to return to him. In 1883 the family moved to Giverny and in 1892, one year after Ernest Hoschedé's death, Claude Monet and Alice married. - Letter from 13 April 1899 on mourning stationery with letterhead; the other two letters on stationery with embossed letterhead of the Savoy Hotel, London. Well preserved..