France les aura reçues. Le sort des soc. Révolut (Les 47 socialistes-révolutionnaires jugés à Moscou) paraît être décidé par le com. Central (comité central) des bolchévistes malgré que les communistes érangers (Zetwin, Souvarine) paraît-il, s'efforcent d'empêcher l'exécution. Mais leur opposition doit être assez faible et les bolchévistes ont déjà un plan arrêté pour la mater : Le tribunal prononcera le verdict de mort contre 22 accusés dont quelques femmes et après quelques jours d'angoisse et des démarches des éléments 'libéraux' de la Troisième (Internationale communiste) on annoncera que 17 personnes furent graciées et qu'il n'y a que cinq (les noms me sont déjà communiqués) dont une femme, qui furent exécutés. Ainsi une démarche énergique d'A. France avec qui on compte toujours à Moscou pourrait peut-être encore peser sur la balance dans un sens inverse […]". - Together with Lenin, Julius Martov founded the League of Struggle for the Emancipation of the Working Class in 1895, one of the first Russian workers' organizations. Arrested in December 1895, he was banished to Siberia from 1897 and 1900. In December 1900 he co-founded the party journal "Iskra" ("Spark"), which he edited until 1901, when he emigrated to Germany. From 1903 onwards Martov served as leader of the Mensheviks in the Russian Social Democratic Labour Party; his faction advocated reforms and a representative democracy, rather than the revolution favoured by the Bolsheviks. During the Revolution of 1905 Martov was a leader of the workers' Soviet; in 1907 he once more went into exile, only to return to Russia once more from 1917 to 1920. After a fierce altercation with Lenin over the Red Terror he turned his back on Russia for good, criticizing Bolshevist politics as the "dictatorship of a minority"..