C'était un bon temps. Il n'y avait alors point de malades dans la noble maison. Maintenant la pauvre Mme de Villeneuve est dans un état pénible, et M. de St. Aignan se remet difficilement de sa nouvelle crise. Depuis quelques jours, il est cependant plus fort. Vous me parlez, dans votre aimable lettre, d'un écrivain [i. e. Rodolphe Töpffer] pour lequel j'ai depuis longtemps une cordiale sympathie. Je l'ai connu à Geneve et je garde précisement dans ma bibliotheque, un exemplaire doux de ses premières publications qui, si je ne me trompe, doit être rare: Nouvelles et mélanges [...] L'ouvrage que M. Blondel a consacré à votre illustre concitoyen m'intéresse vivement et vous pouvez être sur que j'en parlerai de mon mieux à la commission qui est chargée de l'examiner. Mais il a beaucoup de concurrents [...]"..