D.). Fragment. - An denselben mit Kritik an Luxusausgaben im Allgemeinen, die nach dem Krieg im großen Stil produziert würden, und deren Ausstattung mit Velinpapier, Japanpapier und Brokat vom "Geist" des Werkes ablenke: "La guerre ayant porté que d'atteinte aux papiers dits de luxe, les éditeurs publient en ce moment des livres de luxe à tour de bras. Décisement le livre de luxe [...] est une erreur. On tue l'esprit en donnant trop d'importance à la lettre. Il faut emprimer de son mieux sur le meilleur papier possible, mais il ne faut pas raffiner. On arrive très vite à l'écoeurement devant ces velins à la cure, ces Japons, qu'on n'ose pas toucher. Si vous emprimez le plus beau sonnet du monde sur un brocart, vous salossez le brocart et humiliez le sonnet [...]" (o. O. u. D.). - An das Ehepaar Delamain in Paris über ihre rasche Ankunft in Innsbruck über den Arlbergpass sowie ihre Weiterreise nach Altaussee: "Il me semble que notre journal de route devient insolent. Ce soir, arrivée à Innsbruck après passage du col de l'Arlberg! Dernière étage. Nous pensons être arrivés demain soir. Attendons là-bas (Hotel Seewirt, Alt-Aussee, S[t]eiermark) vos applaudissements [...]" ([Innsbruck], "samedi soir"). Die Bildseite mit einer Ansicht des Leopoldsbrunnens in Innsbruck. - An eine Freundin mit Kontaktdaten der Madame Font und der Empfehlung, diese anzurufen, sowie der Ankündigung, ihm Bücher für ihn und seine Töchter zu übersenden: "La marchande de Tables à Thé basses est Madame Font, 44 rue Daurémont [...] Il vaudrait peut-être mieux lui téléphoner pour être sûre de la trouver elle-même. Je vous renvoie un livre à vous, et j'y joins un livre pour vos filles [...]" (o. O. u. D.). - Ein Brief etwas wasserfleckig; der Brief von 1919 mit einem verblassten Sammlerstempel..