Fetis, François-Joseph
Komponist, Musikkritiker und Musikbiograph (1784-1871). 4 eigenh. Briefe mit U. Paris und Brüssel. Zus. 6 SS. auf 3 Doppelbll. und einem Einzelblatt. (Qu.-)8vo. 3 Briefe mit eh. Adresse verso.
$ 846 / 800 €
(90023/BN59474)
In französischer Sprache an den Drucker Charles Dezauche in Paris über ausständige Honorare. - Über die Summe von etwa 2100 Francs, die er ihm bereits vor dreieinhalb Monaten bezahlt habe, und verweisend auf die außergewöhnlich hohen Kosten seiner Musikzeitschrift, der "Revue musicale", zu Jahresbeginn: "Considerez, Monsieur, que depuis trois mois et demi je vous ai compté Deux mille cent et quelques francs [...] Les dépenses extraordinaires du Journal au commencement de cette année ont beaucoup depassé le budget ordinaire [...]" (Paris, 19.
V. 1830). - Schuldschein über 2240 Francs, die Dezauche für den Druck der "Revue" noch zustehen: "Je payerai à l'ordre de Monsieur Dezauche la somme de deux mille deux cent quarante francs, valeur recue de lui en fourniture d'impression de ma Revue musicale [...]" (Paris, 1. VI. 1831). - Über seine prekäre finanzielle Lage, die ihn zwinge, 12 Stunden täglich zu arbeiten, und mit dem Versprechen, seinen Zahlungsverpflichtungen bestmöglich nachzukommen: "Toutes mes ressources ont été absorbées, et pour pouvoir à mes propres besoins, j'ai été obligé de m'imposer un travail de plus de douze heures par jour [...] J'arrive enfin au bout de cette pénible situation, et je me vois en état de satisfaire terme pour terme à mes engagemens avec vous [...]" (Brüssel, 5. VI. 1836). - An Boyer in Paris über den Selbstmord des Verlegers Sautelet, dem er kurz zuvor sein "Dictionnaire de musiciens" verkauft habe: "M. Sautelet, avec qui j'avais rendez-vous aujourd'hui à Midi pour recevoir des réglements relatifs à mon dictionnaire des musiciens, que je lui avais vendu, s'est tué ce matin à 6 heures d'un coup de pistolet [...]" (Paris, 13. V. 1830). Auf Briefpapier mit gedr. Briefkopf der "Revue musicale". - Beiliegend: 2 eh. Briefe mit U. seines Sohnes, des Musik- und Kunsthistorikers Édouard Fétis (1812-1909), an Dezauche mit Bedauern, diesen aus gesundheitlichen Gründen nicht treffen zu können, sowie über Wertpapiere und mit dem Angebot, gemeinsam zum Notar zu gehen (o. O. u. D.). - Eh. Brief mit U. von Dezauche an den Kassenbeamten Hubar in Brüssel über Fétis' ausständige Zahlungen mit der Aufforderung, diese mit größtmöglicher Härte einzutreiben: "Si vous ne pouvez obtenir [...] ce payement, je desire que vous [...] fassiez assigner M. et Mme. Fétis devant le tribunal de Commerce et que vous les fassiez poursuivre avec toute la rigueur possible [...]" (Paris, 24. VI. 1835). Eh. Brief mit U. eines Neffen von Hubar auf demselben Blatt. - Eh. Kontoauszug des von Dezauche beauftragten Notars Havet mit einem Hinweis auf den Gerichtsvollzieher Degroodt, der schon früher Zahlungen von Fétis eingetrieben habe: "Il a déjà, m'a-t-il dit, forcé Fétis à payer un autre créancier". Die gedr. Einladung zur Hochzeit von Havets Sohn auf demselben Blatt. Mit eh. Adresse an das Ehepaar Dezauche in Dieppe. - Kleine Randläsuren; vereinzelt leicht braunfleckig..