Astolphe de Custine

French aristocrat and writer, 1790-1857

"Astolphe de Custine was a French aristocrat and writer who is best known for his travel writing, in particular his account of his visit to Russia in 1839 Empire of the Czar: A Journey Through Eternal Russia. This work documents not only Custine’s travels through the Russian empire, but also the social fabric, economy, and way of life during the reign of Nicholas I. He wrote a decently received account of a trip to Spain and was encouraged by Honoré de Balzac to write accounts of other ""half-European"" parts of Europe, like southern Italy and Russia."

Source: Wikipedia

Custine, Astolphe de

Schriftsteller und Reisender (1790-1857). Eigenh. Brief m. U. an eine Frau. Ohne Ort, ohne Datum. 1 p. 8vo.
$ 966 / 850 € (26371)

Custine, Astolphe de, écrivain et voyageur (1790-1857). L.A.S., à une dame ; 1 page in-8. « Les prodiges sont à l’ordre du jour dans votre famille. [...] Je n’ai pas à parler du chant de votre charmante enfant, depuis longtems il est tout ce qu’il peut être, mais le sentiment, l’esprit, l’art de la scène : j’ai trouvé là des progrès qui m’ont surpris. J’ai surtout remarqué une coquetterie d’honnête femme qui a un charme particulier : c’est une nuance bien rare à saisir au théâtre, et pour cause ! Enfin nous vous avons dû l’un et l’autre une soirée que nous n’oublierions pas »...

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Custine, Astolphe de

Schriftsteller und Reisender (1790-1857). Eigenh. Brief an den Verleger Renduel [Eugène Renduel], zu Beginn signiert. Saint-Gratien. 3/4 pp. 8vo mit eingepägten Initialen.
$ 1,704 / 1.500 € (26420)

CUSTINE (Astolphe, marquis de). Né à Niederwiller (Meurthe). 1790-1857. Voyageur et littérateur français, célèbre par la publication de son ouvrage sur la Russie en 1839. Fils d’Armand de Custine et Delphine de Sabran (qui fut l’amante de Chateaubriand. Son prénom inspira le titre d’un roman de Germaine de Staël, « Delphine »). L.A. au libraire-éditeur Renduel [Eugène Renduel], écrite à la troisième personne, doc signée en tête. Saint-Gratien, 12 novembre [1834]. 3/4 p. in-8 gravé à son chiffre.

Suscription.Astolphe de Custine adresse à …Monsieur Renduel le second volume du monde comme il est qu’il lui recommande particulièrement comme le premier, attendu que cette copie [exemplaire] est la seule qu’il possède. Il le prie instamment de presser M. Terzuole, et de donner ce second volume à un autre imprimeur pour arriver à la fin le plus promptement possible…Eugène Renduel est un éditeur français né le 18 novembre 1798 à Lormes (Nièvre) et mort le 19 octobre 1874 à Beuvron (Nièvre). Après avoir débuté comme clerc chez un avoué de Clamecy, il s'installa à Paris en 1819. D'abord employé chez un libraire, il ouvrit sa propre librairie en 1828, au 22 rue des Grands-Augustins, et devint rapidement l'éditeur attitré des écrivains romantiques. Au cours des années 1830, il prit part à toutes les réunions de la jeune école et fréquenta les célébrités, encore débutantes pour la plupart, du monde littéraire de l'époque. Entre 1831 et 1838, il publia les œuvres de Hugo, Nodier, Eugène Sue, Sainte-Beuve, Musset, Gautier, Lamennais, Pétrus Borel, etc... En revanche, il finit par abandonner le Gaspard de la nuit d'Aloysius Bertrand sept ans après avoir passé traité avec son auteur. Il savait s'entourer des meilleurs illustrateurs de l'époque, Célestin Nanteuil, Louis Boulanger, Tony Johannot, qui lui fournissaient des gravures. En 1838, il acheta le château de Beuvron (Nièvre) et s'y retira deux ans plus tard, renonçant à toute activité éditoriale..

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Custine, Astolphe de

Schriftsteller und Reisender (1790-1857). Eigenh. Brief an Sophie Gay [1776-1852], die einen Pariser Salon hatte. o. O. 3/4 p. 8vo.
$ 3,635 / 3.200 € (26421)

Custine, Astolphe, marquis de, Voyageur et littérateur français (1790-1857). L.A. à Sophie Gay [1776-1852, femme de lettres qui tenait un célèbre salon parisien]. S.l., vers 1830. 3/4 de page in-8.CHARMANTE LETTRE DANS LAQUELLE CUSTINE EVOQUE STENDHAL : …C’est charmant : il y a du souvenir, de l’avenir, enfin tout ce qui touche et occupe : c’est un vrai bien à me faire, que d’attendre quelque chose de moi, qui trop souvent en désespère comme de la destinée. Au reste soi et son destin n’est-ce pas la même chose ? Grace à vous et à ce livre, je ne serai pas seul dans mon nouveau voyage et vous savez que la solitude des voyages est la plus triste… Il aurait tant à dire encore qu’il préfère se taire.

Il termine en lui faisant part de la réception d’une …lettre charmante de Mr Bayle [sic, pour Henri Beyle, Stendhal], l’auteur des promenades dans Rome [éditée à Paris en 1929] il est d’autant plus aimable qu’il m’a donné des conseils. A demain, enrhumé ou non….

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