General (1789-1850). Eigenh. Brief mit U. O. O. 17.04.1850. 2¼ SS. auf Doppelblatt. 8vo.
$ 375 / 350 €
(941734/BN941734)
An Gräfin Esterházy, geb. Weissenwolf (1795-1866), in Venedig mit Dank für geliehene Bücher, über sein Gichtleiden und mit Nachrichten von Helene Esterházy und Frau Samoiloff sowie über den Tod der Mutter Herzog Littas in Turin. Er, Konstantin d'Aspre, wolle Helene und die Adressatin gerne abends einladen, lasse aber zuerst (vermutlich einen Doktor) Wimpfen kommen, um sich zu versichern, dass er keinen beginnenden Husten habe. Auch beschwert Konstantin sich darüber, dass die Adressatin ihren Gatten Valentin schlecht erzogen hätte, da dieser wie versprochen vorbeigekommen wäre, leider jedoch nicht Bescheid gesagt und ihn so verpasst hätte: "C'est avec beaucoup de reconnaissance Mm Comtesse que je vous renvoye les livres que Vous aviez bien voulus mes prêter.
Vous voyés quelles pattes de poule je fais mais cette malheureuse gou[t]te m'a attaqué les doi[g]ts les uns aprés les autres, et vous voyés en quoi j'en suis reduit [...] Madame de Samoiloff m'écrit au nome du Duc Litta pour m'annoncer la mort de sa mere, lendi à Turin au moment de sa convallescence [!]. Avés-vous vu Helene Esterhazi qui m'écrit un mot amical de Venise. Je pensais qu'elle serai ici demain, mais j'envoyé le [...] Wimpfen qui y ira ce soir pour m'en affirmer [?]. Si la toux n'étaient pas detectable je vous engagerai en soirée avec elle, mais, ce serait une trop mauvaise plaisanterie par la pluie et le froid j'engage Wim[p]fen en lui presentant de venir me [...] plus tard. Valentin qui m'avait promis de venir chés moi m'a manqué sans crier gare. Pourquoi l'avés-vous si mal-elevé? [...]". - Blatt 2 mit Ausschnitt am unteren Rand (ca. ¼ S.) und restaur. kleinerem Ausriss durch Brieföffnung (jeweils ohne Textverlust). Mit kl. in Rot und Gold gepr. Monogramm..