Comme je suis le fondateur de la tantième des auteurs dramatiques et de la loi pour l’Allemagne, d’après la quelle un drame, même imprimé, n’ose être représenté sans la permission de l’auteur, j’avais le plan de fonder pour les artistes dramatiques en l’Allemagne [sic] une association, comme la France la doit à Votre mérite et talent. Vous aviez la bonté de me communiquer les matériaux, pour exécuter ce plan. J’ai donné dans un de mes livres un aperçu de Votre association où il me fallait vanter Vos grands mérites. Arrivé en Allemagne, au moment de préparer la fondation d’une semblable association, un Mons. Schneider à Berlin organisait un institut de pensions pour les artistes dramatiques de l’Allemagne, d’après des principes tout différent de ceux de Votre association ; sa vanité voulait créer quelque chose de nouveau, au lieu de profiter de Votre création, que l’experience avait sacrée. Son institut, nommé Perseverantia, n’a pas réussi et se trouve au moment de finir. On m’invite de publier les lois de Votre association. Je ne peux pour le bien publique me refuser à cette invitation, quoique avancé dans l’age, je ne me sens plus les forces pour donner la vie à cette association. J’ai recu par Votre bonté, ainsique les annuaires précédents, celui de la 18me année, paru 1857. Il me manquent donc les annuaires de 1858, 1859 et 1860 pour connaître l’état actuel et les derniers resultats. Je vous prie, Monsieur le Baron, de me faire parvenir ces 3 annuaires. Monsieur de Gasperini, attaché à la mission Prusse a la bonté de Vous remettre cette lettre et de reçevoir les annuaire, ainsi que a payer le prix des annuaires. […]“. - Der Antwortentwurf enthält eine Zusage des Gewünschten: „Monsieur, J’ai parfait souvenir de votre aimable visite et des différents documents que j’ai eu le plaisir de vous communiquer. Je joins à ma lettre les trois annuaires que vous désirez, et je les fais passer à M. Gasperini, chef de la chancellerie de Prusse, pour vous les faire parvenir […]“..