Komponist (1775–1834). Eigenh. Brief mit U. („Boieldieu“). O. O. u. D. ¾ SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. Adresse (Faltbrief). 300 € (15303)
An den Schriftsteller und Regisseur René Charles Guilbert de Pixérécourt (1773–1844), dem er mitteilt, daß er ihm ab dem folgenden Tag zu Mittag wieder zur Diensten stünde: „Je suis à vos ordres dès demain midi [?] étant revenu ce matin pour le jury de l’opéra“. Jetzt würde er nur noch mit seiner Oper nach Villeneuve zurückkehren: „Je ne veux maintenant m’en retourner à Villeneuve qu’avec votre opéra [...]“. – Mit kleineren Läsuren und alten Montagespuren; stellenweise alt restauriert.
Opernkomponist (1775-1834). Eigenh. Brief mit U. O. O. 1 S. auf gefalt. Doppelblatt. 4to. Beiliegend gedr. Portraitkarte. 2.500 € (935217/BN935217)
An den Gesangspädagogen Charles-Henri Plantade (1764-1839), dem er für einen Schüler das Manuskript seines "Télémaque" (1806) schickt: "Mon cher Plantade / Je t'envoie mon air de Télemaque, avec quelques changemens que je crois avantagueux pour la voix de ton éleve. Fais moi le plaisir de le lui donner franc qu'il en tire une copie, mais qu'il te rende la partition car-je n'ai point le double de ce nouveau manuscrit. Tu pense le garder si tu le veux pour en faire tirer. Les parties d'orchestre par-le copiste qui se charge des concerts de l'ecole-Royale, enfin fai tout a que tu jugeras a propos pourra que mon manuscrit ne soit pas perdu, et dans tes mains je serai parfaitement tranquile [...]." - Spuren zeitgenöss.
Faltung..
Komponist (1775-1834). 2 eigenh. Briefe mit U. O. O. 2 SS. auf einem Doppelblatt und einem Einzelblatt. 8vo. Ein Brief mit eh. Adresse verso. 450 € (90035/BN59486)
In französischer Sprache an einen Kollegen mit Dank für Partituren, die ihm sein Bruder übermittelt hat: "Monsieur, mon frère m'a envoyé les partitions que vous lui aviez remises avec le petit mot par le quel vous m'en faites la remise. Je suis on-ne peut plus reconnaissant Monsieur de ce bon procedé de votre part, et vous prie de recevoir l'assurance de mes sincère remercimens [...]". - An Madame Agasse in Andilly mit Dank für ihre Bereitschaft, seinen Sohn Adrien am kommenden Samstag zu betreuen, und mit dem Hinweis, dass das Kind gerne auf einem Esel reiten würde: "puisque vous avez la bonté Madame de vouloir bien vous charger pendant quelques jours du cher petit adrien, je vous l'annonce pour Samedi.
il partira le matin par la voiture de Francois, et si vous êtes assez bonne pour lui envoyer un âne, je ne doute pas du plaisir qu'il aura a faire cette cavalcade. Je vous remercie d'avance vous et Madame votre mère des sourires que vous lui donnerez. cette idée me consolera un peu de la peine que j'ai à le quitter, et à m'eloigner des gens que j'aime sincèrement [...]"..