Tänzerin und Sängerin (1906-1975). Portraitpostkarte mit eigenh. Unterschrift (Bleistift). ohne Ort. 88 : 65 mm.
1.800 €
(81744)
Das Foto zeigt den Künstler in ganzer Figur in einem Overall. Unterschrift und Datum in voller Länge mit Bleistift. Erwähnung auf der Rückseite „Joséphine Baker, la célèbre vedette qui triomphe dans Paris qui remue au Casino de Paris ne porte que des tricots Réard“. Handschriftliche Notiz von fremder Hand über die Echtheit der Signatur: „Sa signature est authentique, elle m'a été donnée au Moulin de la Galette par elle-même“. Schönes fotografisches Porträt von Josephine Baker auf dem Höhepunkt ihres Schaffens.
verkauft
3 eigenh. Briefe mit Unterschrift. Beilagen.
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An ihren Freund André Lahillonne, den Präfekt der Dordogne. Über ihre bevorstehende Hochzeit mit Jo Bouilloon (4. Juni 1947). 19 März: „Je le grand honneur de vous annoncer mon mariage avec M. Jo Bouillon vers le 15 avril prochain aux chateau des Mirandes [...] où je suis en convalescence depuis quelques jours“ - 29. März: Das Datum der Hochzeit wurde verschoben: „donc il nous faut encore quelques jours de patience avant de mettre le cord au cou […] les femmes sont terrible donne leur un main elle prendre un bras»; elle le prie de lui trouver un couple de gardiens pour le château: «c'est important que les maison garder aujourd'hui par des gens honté, consiencieux et travailleur“ - 12. April: Jo, ihr künftiger Mann, ist in Südamerika: „je commence trouver le temps bien longue, mais les affaires sont les affaires“. Beiliegt: 2 eigenh. Briefe und ein Telegramm von Jo Bouillon bezüglich der Hochzeit, 5 Originalphotographien von Joséphine Baker mit Jo Bouillon. - 1947 heiratete sie ihren Orchesterleiter Jo Bouillon. Sie blieben bis 1957 zusammen, und diese vierte Ehe wurde 1961 geschieden.
6 Autograph letters signed and 10 Typed letters signed.
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À son habilleuse Ginette Renaudin. Affectueuse correspondance, signée Joséphine Baker ou Joséphine Bouillon, ou «votre deuxième maman». Elle dit à son habilleuse combien elle lui manque, notamment pendant ses tournées au Danemark, en Suède et en Amérique du Sud («J'adore le Brasil [...] j'ai acheter beaucoup de singes et oiseaux», etc.). Elle la charge de courses pour ses costumes et pour la décoration des Milandes (rideaux et couvertures en fourrure). Elle évoque ses succès, ses soucis d'argent, ses enfants (ils sont tous les neuf avec elle en janvier 1958 dans la neige à Stockholm «en train de se rouler par terre comme de petits animaux»), la maladie de sa mère, ses difficultés avec Jo Bouillon Elle la fait engager par Bruno Coquatrix pour ses spectacles à l'Olympia et à l'étranger (1959); elle la réclame par un télégramme (1963) pour 15 jours aux États-Unis... On joint un certificat des bons états de service de Ginette Renaudin signé par Joséphine Baker et Jo Bouillon (1951), une déclaration de bagage au nom de Joséphine et Jo Bouillon (Japon mai 1954), une fiche d'immigration au nom de Ginette Renaudin (U.S.A. 1955-56), et 2 cartes de voeux.
6 Autograph letters partly signed.
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Intéressante correspondance pendant sa tournée de 1963 aux U.S.A., mentionnant les décès de Piaf et de Cocteau, et l'assassinat de J. F. Kennedy. New York (The New York Hilton) 11 and 12 October. Elle est bien arrivée et tout s'annonce pour le mieux: «toute est vendu». Elle repousse son retour car elle a des rendez-vous pour les livres et le film, et demande que Kenza la rejoigne avec divers documents et costumes oubliés. Elle cherche à contacter Stephen Papich (qui sera son biographe) en Californie «c'est très très important», car en cas d'ennuis, il pourrait l'aider dans son combat contre la discrimination raciale: il est au courant de ses affaires passées et du procès. La presse lui a fait un accueil formidable, tout va bien et elle compte gagner beaucoup d'argent. «Je suppose que tu a envoyer les fleurs pour la pauvre Piaf et Cocteau 15000 AF chaque»... Elle est enrhumée, et a toujours sommeil à cause du décalage horaire Philadelphia (The Bellevue Stratford) 17 et 18 octobre. «Un trionphe, alors l'avenir assuré [...] Je suis en train de faire les contracts ici, pour environ 2 mois [...] avec des prix formidable que seule on peut faire dans ce pays». Les critiques sont excellentes, mais elle a besoin de rentrées d'argent immédiates, et les engagements n'arriveront que mi-novembre. Elle fait ses comptes et donne des instructions pour ses affaires, ses futurs contrats, et régler ses ennuis financiers; il faut trouver quelqu'un en Suisse pour les dépanner financièrement. Elle veut gagner du temps, «car malgré que nous avons gagné la bataille complètement ici le toute Amerique est à nos pied comme avant il faut le temps pour avoir des ettablissements car le success est venu d'un coup». Coïncidence: le Mirror, qui lui a fait tant de mal, a fermé ses portes. «Les USA sont dans notre poche de nouveau, et il faut le garder car c'est ici l'argent, et sans limite»... Elle leur envoie des critiques: «Le triomphe continue», et elle repousse son retour «car c'est sur ce contracte que nous allons pouvoir avoir du crédit en Suisse»... New York (Essex House) 22 octobre. Elle bat le fer tant qu'il est chaud et conclut d'importantes affaires: «toute le monde me veux maintenant que c'est un succes et naturellement je veux en profiter». Il y a les engagements, les livres, et ensuite le film; et tout cela lui donnera «une assurance financière où il y aura plus besoin des pretes des banques car mon seul métier me garantie toute cela»; mais il faut du temps Elle a vu beaucoup aimé le spectacle de Marie Bell, «mais le success que j'ai ici à New York et Philadelphia est hors concours». Elle demande des nouvelles des Mirandes, donne des instructions pour ses affaires, etc. New York (Essex House) 24 novembre. «Que des evenements depuis mon départ de la maison»: l'assassinat du Président Kennedy, «ensuite, l'assassinat du l'assassin». Elle a été à Washington pour l'enterrement: «Il y a 1 mois de deuil national», ce qui reporte son spectacle au 27 décembre au mieux. Tout ici est arrêté. Elle parle de son projet de livre, dont elle a rencontré l'auteur, très connu aux États-Unis, et pour lequel la maison Opera Mundi est prête à lui avancer 25 ou 30 000 dollars, etc. Elle demande également une avance sur sa tournée de mai. Elle donne des instructions pour les affaires courantes et ses finances, et demande des nouvelles des Milandes (professeur, cuisinière, femme de chambre) La ville d'Integrate dans l'état de New York va se jumeler avec les Milandes. «Le grand succes des notabilités venu pour l'enterrement etc de Gaulle en tete ensuite l'empereur de l'Éthiopie»... On joint une l.a.s. de Jacques Abtey à sa femme Jacqueline (Copenhague 29.VIII.1963); 2 doubles dactyl. de lettres de Bernd W. Heinricht à Tino Davini au sujet d'un projet d'exposition d'Abtey, avec des notes autogr. de Jacques Abtey.
Portraitphoto mit eigenh. Widmung und U.
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"A Directeur Waltuch en souvenir de Josephine Baker 1932 Wien". - Studio Keyston Talbot.
Ganzfigürliche Portraitpostkarte von vorne im Bühnenkleid mit eigenh. Unterschrift.
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Das ganzfigürliches Schwarzweißportrait von Josephine Baker mit Unterschrift quer über die untere Hälfte des Fotos, zeigt Josephine Baker im legendären Bühnenkleid: weiße Seide, ärmellos, mit tiefem Ausschnitt und eng anliegend mit bis zum Boden reichender pelzbesetzter Schleppe. Sie trägt eine platinblonde Perücke, das Haar in Wellen gelegt. Fotografiert wurde Baker von Teddy Piaz (Piaz Studios of Paris) in den frühen 1930er Jahren. Am 2. Oktober 1925 feierte Josephine Baker ihr Bühnendebüt in Paris, genauer am Théâtre des Champs Elysées. Als Hauptdarstellerin der "Revue Negre“ wird sie Kopf nach unten, bekleidet mit einer Flamingofeder, auf die Bühne getragen. Josephine Baker stellte in den wilden Zwanziger, das das, was selbst Paris so noch nicht erlebt hatte: „Sie ist eine Farbige, sie ist praktisch nackt, ausgesprochen schön und sie tanzt wie keine zuvor. Wild und animalisch, zu Jazzmusik. Josephine tanzt Charleston“, analysierte BR Klassik. So wurde aus Josephine Baker wird "La Baker“. Es folgen Auftritte in den Folies Bergéres, im Casino de Paris und ab 1926 im eigenen Nachtclub im "Chez Josephine". Um das Image der wilden Amazone zu unterstreichen, flanierte sie mit einem Gepard an der Leine durch Paris oder trat im legendären Bananenrock auf. Sie prägte die Mode und französische Frauen ließen sich Kurzhaarfrisuren a la „Baker" schneiden und tanzten Charleston. Josephine Baker hatte einen Ruf wie Donnerhall - in Wien wurden anlässlich ihres Gastspiels Sondergottesdienste gegen die mangelnde Moral abgehalten.
Portraitphotographie mit eigenh. Widmung und Unterschrift.
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Hübsche Portraitphotographie der jungen Sängerin im Profil nach rechts. Mit eigenhändiger Widmung „Souvenir de Bonne Année | Josephine Baker | Paris, 1931“. 1931 landete Josephine Baker ihren berühmtesten Hit „J'ai deux amours“. Als „Tänzerin mit Bananenröckchen“ wurde Josephine Baker in den 1920er Jahren berühmt. „Sie hat 1925 erkannt, dass sie ein Klischee bedient, nämlich sexy, schwarz und amüsant. Und dass sie damit Erfolg haben kann“, schreibt ihre Biografin Mona Horncastle („Josephine Baker“ Weltstar, Freiheitskämpferin, Ikone, Wien 2020). Bei ihrem Debüt am 2. Oktober 1925 im Théâtre des Champs-Elysées war Josephine Baker 19 Jahre alt und dem französischen Publikum noch gänzlich unbekannt. Als der Vorhang wieder fiel, war sie ein umjubelter Star. Ein „Idol aus dunklem Stahl und Bronze, Ironie und Gold”, schwärmte Jean Cocteau, einer der Premierengäste. Für „La Baker” begann eine beispiellose Karriere. Auftritte in den Folies-Bergères, im Casino de Paris, ab 1926 ein eigenes Haus, “Chez Joséphine” in der Rue Fontaine. Sie wurde zum Inbegriff des “Flapper”, der emanzipierten Frau der zwanziger Jahre. In dem Stummfilm „Siren of the Tropics“ war sie 1927 die erste schwarze Frau, die je in einem Film eine Hauptrolle spielte. Danach spielte sie die Hauptrolle in zwei großen Filmen, darunter, mit Jean Gabin, Zouzou (1934) und Princesse Tam-Tam (1935). Aus dieser Zeit stammen auch die legendären Fotografien im mit Schlangenleder gepolsterten Sportwagen, oder von La Baker, die ihren Leoparden Chiquita samt Diamanthalsband über die Champs-Elysées führt. Ihre Laufbahn hat die aus ärmlichen Verhältnissen stammende Freda Josephine McDonald mit 16 Jahren am Standard Theatre in Philadelphia begonnen. Stationen waren New York, ein Engagement in einer Vaudeville-Truppe, mit der sie ein halbes Jahr durch die USA tourte, Chorus-Girl in der musikalischen Komödie Shuffle Along in New York und die schwarze Revue The Chocolate Dandies. Der damals in den USA äußerst populäre und bekannte deutsche Dichter Karl Gustav Vollmoeller vermittelte Baker Engagements in Berlin und Paris.
Portraitpostkarte mit eigenh. U.
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Frühe Portraitpostkarte der Tänzerin im Profil nach rechts mit eigenhändiger Unterschrift („Josephine Baker“). Photographie: Nadar. 1925 kam die US-amerikanische Tänzerin nach Frankreich und bezauberte das Publikium. Für “La Baker” begann eine beispiellose Karriere. Auftritte in den Folies-Bergères, im Casino de Paris, ab 1926 ein eigenes Haus, “Chez Joséphine” in der Rue Fontaine. Auch in Europa erfuhr Josephine Baker Ausgrenzung und Rassendiskriminierung - obwohl längst ein gefeierter Star. So wurden in Wien 1928 anläßlich ihres Gastspiels Sondergottesdienste abgehalten, „als Buße für schwere Verstöße gegen die Moral, begangen von Josephine Baker“. In Deutschland erhielt sie Auftrittsverbot und 1935 ersucht man die Urlauberin in St. Moritz, den Dienstboteneingang zu benutzen. Im Zweiten Weltkrieg war Josephine Baker für die Résistance und den französischen Geheimdienst tätig. 1963 war sie neben Martin Luther King eine der Hauptrednerinnen beim „Marsch auf Washington”.
Portraitphotographie mit eigenh. Widmung und Unterschrift.
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Hübsche ganzfigürliche Darstellung der Sängerin in Jacques Offenbachs „La Créole“ auf der Bühne. Photographie Studio Piaz, Paris.
