Garibaldi hatte Neapel im Herbst 1860 im Rahmen des „Zug der Tausend“ kampflos besetzt. Er ernannte Dumas zum Museumsleiter und zum Direktor der Zeitung L'Indipendente. Dumas kannte Neapel bereits sehr gut, er hatte hier schon früher einige Zeit verbracht. Zu seinen Anliegen gehörte unter anderem er Kampf gegen das organisierte Verbrechen. Das ist auch in diesem Brief zu spüren, der in gewisser Weise nichts an Aktualität eingebüßt hat.
Übersetzt aus dem Italienischen ins Französische: „[…] Il y a quelque chose comme sept ou huit ans que la rue de Tolède - la seule rue de Naples dans laquelle on puisse aller en voiture, et qui n'a pas été bâtie par les Napolitains mais par un vice-roi espagnol, est interrompue à partir del Mercatello, par des ruines à moitié tombées et par des batisses à moitié faites. C'est tout simplement hideux. La seule promenade de la ville aboutit à des décombres - à des buttes de terres écroulées - et l'on n'arrive au musée aux médiocres bâtiments lui-même, mais précieux pour les choses qu'il renferme qu'en faisant un détour par la Porta Alba, et par le fameux Couvent de Santa Maria di Costantinopoli dont le plus grand miracle a été de donner le choléra à Naples. Enfin aujourd'hui la municipalité se décide à mettre en vente les terrains plus encombrés de moellons, plus bosselés de pierres que les ruines de Babylonne et de Palmire. De ce Sahara sabloneux elle va faire un nouveau quartier. […]“
Er schreibt, es sei sieben oder acht Jahre her, dass die Via di Toledo - die einzige befahrbare Straße Neapels, die zudem nicht von Neapolitanern, sondern von einem Spanischen Vizekönig erbaut wurde, - dass eben diese Straße durch vom Mercatello herabgestürzte Ruinen versperrt sei. Es sei einfach lächerlich, spottet Dumas, dass der einzige Weg durch die Stadt in den Schutt führt und dass das Museum, das sich zwar in einem mediokren Gebäude befinde, aber große Schätze beherberge, nur durch einen Umweg über die Porta Alba erreicht werden könne oder über die berühmte Kirche Santa Maria di Costantinopoli, die das große Wunder vollbracht habe, Neapel die Cholera zu schenken. Am heutigen Tage habe die Stadtverwaltung beschlossen das Land, das noch mehr Geröll und Schutt lagere als die Ruinen von Babylon und Palmira, zu verkaufen. Aus dieser sandigen Sahara wollten sie einen neuen Stadtbezirk machen.
„[…] Nous avons son projet sous les yeux. Ne croyez pas que la municipalité se soit préoccupé le moins du monde dans ce projet de la question d’art ou d’hygiène, - deux questions qui valent la peine d’être étudiées. Cependant. Ne croyez pas quelle se soit dit-les arbres manquent dans l’intérieur de la ville et par conséquent l’oxigène, de la viens peut être cette quantité de maladies de poitrines que dénonce la population de Naples-plantons des arbres a force, les arbres dégagent de l’oxigène le jour et du carbone la nuit, par conséquent ils fournissent un des éléments qui composent l’air respirable, aidons dieu dans ses oeuvres et faisons respirer à nos administrés un bon air non – non la municipalité ne s’est point préoccupé de cela.[…]“
Dumas kritisiert, dass die Verwaltung dabei keinen Gedanken an Kunst oder Hygiene verschwende. Auch habe man sich dort nicht gesagt, dass in der Innenstadt Bäume fehlten, damit die Luft besser würde. Dumas erklärt das Prinzip, dass die Bäume tagsüber Sauerstoff und nachts Kohlenstoff abgeben und damit die Luftqualität verbessern. Dem Volk zu guter Luft zu verhelfen, nein, nein, darum kümmere sich die Verwaltung nicht.
„[…] Ne croyez pas quelle se soit dit – voici une occasion d’avoir une belle rue large et bien aérée- aboutissons à un Palais qui sans être d’une belle architecture et cependant de forme assez imposante tirons nos lignes de manière à ce que du dernier detour […] on en arrive à voir le Portique du Musée […] Londres avec ses brouillards éternels Paris avec ses alternatives de pluies et de soleil peuvent avoir besoin de square de parcs de jardins de boulevards […] mais nous avec notre climat torride nous n’avons besoin de rien de tout cela […] c’est un joli échiquier coupé par compartimens carrés Dont le roi est le choléra et la reine le fièvre […] avec de tels projets ce n’est pas dans cinquante ans que Naples sera une ville à la hauteur des autres capitales c’est dans trois cents ans […] Nous ne savons pas jusqu’à quel point la municipalité se préoccupe du pain quelle fait manger aux napolitains- mais ce que nous savons c’est qu’elle lui fait respirer un air infect et boire une eau impure…Si le vin était bon au moins on boirait du vin […] Mais non les marchands peuvent frelater leurs vins y fourrer toutes les composition que leur suggèrent leurs imaginations méridionales vous empoisonner avec de la graine de sureau ou du jus de pures ; cela ne regarde pas la municipalité Ce quelle fait vous le voyez bien elle fait des projets de quartiers nouveaux dans lesquels il n’y a ni boulevards ni squares ni fontaines. La suite à Demain Alex Dumas“
Dumas beklagt, dass die Chance, eine breite Prachtstraße zu bauen, die auf den architektonisch zwar nicht besonders schönen, aber imposanten Palast zuführt, nicht genutzt würde. Eine Stadt wie London, mit seinem Regen und Nebel, brauche vielleicht Parks, Gärten und Boulevards, Neapel aber mit seinem heißen Klima brauche das nicht, spottet Dumas. Stattdessen entstehe ein Stadtteil im hübschen Schachbrettmuster, bei dem die Cholera der König und das Fieber die Dame ist. Wenn das so weitergeht, werde Neapel nicht in 50 Jahren auf Augenhöhe mit anderen Hauptstädten sein, sondern in 300. Es sei bekannt, dass die Neapolitaner schlechte Luft atmen und verschmutztes Wasser trinken. Wäre wenigstens der Wein gut, dann könne man diesen stattdessen trinken. Aber nein, die Händler könnten ihn panschen, wie sie wollten.
Während seiner Zeit in Neapel tauchte Alexandre Dumas mit Vorliebe in die dicht bevölkerten Straßen und Gassen ein, um den Neapolitanern nahe zu sein zu. Für ihn stellt die große Hauptstraße Neapels Gehversuch in Richtung modernerZivilisation dar, die Verbindung der „poetischen“ Stadt mit der Industriestadt. Die Via Toldeo ist dabei eine quirlige Straße mit Restaurants, Cafés und Geschäften. 1864 hatte Dumas das Gefühl, dass die Neapolitaner einen Ausländer wie ihn nicht zu schätzen wissen und trat von seinen Ämtern zurück. Er verließ die Stadt Richtung Paris und soll beim Abschied gesagt haben: „Je quitte la plus belle ville du monde.“ Ich verlasse die schönste Stadt der Welt..