Balzac, Honoré de
Schriftsteller (1799–1850). Eigenhändiger Brief mit Unterschrift „de Bc.“. [Passy, April 1847]. 8vo. 1 1/2 pp.
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Zu einem Artikel von Théophile Gautier vor der Veröffentlichung des letzten Teils von „Splendeurs et misères des courtesanes“.
„Je ne vous savais pas en mal de feuilleton, je venais vous dire que je suis dans le même cas pour 1° la Presse, 2° l’Union, 3° le Constitutionnel, et que je ne puis pas disposer d’un instant, car outre l’emménagement de mes romans, j’ai le déménagement de tout mon mobilier. Enfin, j’ai vu Émile à qui cet article sur les 3 ouvrages précédents est tellement indifférent, qu’il en veut très peu.
Quant à moi, je n’en ai parlé qu’au point de vue des abonnés de la Presse, qui ne connaissent pas tous la tête dont cette petite nouvelle est la queue. Vous savez que pour ce qui me concerne, je n’ai jamais rien voulu. Ici l’impossibilité me prend à la gorge, je suffis à peine à mes travaux, et je transporte ma bibliothèque lundi Gautier, ayant déploré l’article que vous savez, et sachant Goriot, Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes, avait matière à un grand feuilleton critique, narratif, etc. Mais remarquez que c’est à son point de vue et non au mien qu’il doit le faire. Mes idées sur moi sont très mesquines […]“ - Correspondance (Pléiade) III, 47-29..